Farnièreries de Noël : Exposition de Santons de Provence jusqu’au 2 février 2018

Farnièreries de Noël

Venez « santonner » au CRH Domaine de Farnières et découvrir les plus beaux santons de Provence. Notre partenaire, le Centre Don Bosco y organise une exposition de santons venus tout droit d’Aubagne, une commune du Sud-Est de la France, située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Cette première édition de l’exposition-vente sur l’art du santon a lieu jusqu’au 2 février. L’accès, gratuit, vous permet de découvrir des santons traditionnels ou d’inspiration contemporaine, épurés ou habillés… Plus de 150 pièces ont été ramenées de la région marseillaise par un bénévole. Il est allé les chercher à Aubagne… « Tout s’est bien déroulé et j’ai reçu un accueil très chaleureux chez le santonnier. En plus, j’étais très heureux de retrouver le soleil du sud de la France ».

Sachant qu’ils sont de toutes tailles (5 cm, 7 cm et 30 cm) et que peindre des santons demande des heures de travail, la qualité de cette exposition contribuera à rendre uniques vos fêtes de fin d’année. Véritables œuvres d’art, ces santons de tradition sont l’aboutissement d’une passion. La réalisation ayant été entièrement confiée à Stéphane Campana. Depuis 1998, c’est à Aubagne, capitale du santon, que ce santonnier professionnel façonne par modelage ses santons en argile dans le respect du savoir-faire traditionnel. Grace à son expérience et à sa passion, l’homme réalise un travail artistique de qualité, afin de rendre sa collection vivante et attachante. Tous ses santons sont d’ailleurs entièrement fabriqués à la main dans son atelier. Un soin particulier est d’ailleurs apporté aux mains et aux visages afin d’apporter une plus grande expression aux personnages.

En pratique : 1ère édition des Farnièreries de Noël :

  • Du samedi 2 décembre 2017 au vendredi 2 février 2018 inclus.
  • Au CRH Domaine de Fanrières.
  • Ouverture tous les jours : 14h00-18h00.
  • Vente de santons. Taverne du terroir ouverte.
  • Entrée gratuite et libre. Info : www.cdbf.be – +32(0)80 559 020 .

Des nouvelles de Marc Truyens, notre ancien vicaire

Bonjour à tous,

L’abbé Marc Truyens vous envoie sa lettre circulaire.

La plupart d’entre vous le savent déjà, si vous voulez consulter d’autres lettres, je vous invite sur le site http://mangembo.info. Dans l’onglet « Le coin des Amis éloignés », vous pouvez trouver un lien vers toutes les lettres de Marc depuis 2010.

Avant de rentrer à Mangembo, en septembre 2017, il a créé une page Facebook afin de permettre au plus grand nombre de garder un lien direct avec lui. Vous pouvez le suivre à cette adresse : www.facebook.com/marc.truyens.56

Le prochain événement auquel nous vous convions est un repas spectacle !
La troupe de théâtre « Les pipelettes sur planches » a décidé de nous venir en aide afin d’aider à la poursuite des projets de l’abbé Marc et de trois autres oeuvres de bienfaisance (les bénéfices seront répartis entre les quatre).
Vous choisissez la soirée qui vous arrange (sa 3, di 4, sa 10 ou di 11 mars 2018) et vous venez avec votre famille et vos amis partager le repas et la représentation avec nous !
Cela se déroulera à Theux et le repas sera pris en charge par un traiteur.
D’autres renseignements suivront, mais bloquez déjà une date dans votre agenda !

P.S. Si vous connaissez un sponsor qui recherche un peu de visibilité, n’hésitez pas à nous faire signe !

À tous les donateurs qui souhaitent également continuer à soutenir ses projets, rendez-vous sur le site mangembo.info à la page « faire un don ».

Un nouveau formulaire d’ordre permanent a été créé spécialement pour vous grâce à notre partenaire Memisa !

Cordialement,

Jean-Paul, le frère de Marc.

Marc Truyens

abbemarctruyens@gmail.com
http://mangembo.info
+243 89 21 90 111
+243 99 471 96 72
adresse postale:
Procure des missions
B. P. 1800 KIN 1
RDC

 

Déc. 2017 : En Avent, en avant vers Noël

Le week-end des 2 et 3 décembre, nous entrons dans la période de l’Avent et nous nous mettons en marche vers Noël.

Comme chaque année, nous allons être sollicités par des messages contraires, opposés. D’un côté, la publicité, l’esprit de notre monde et de notre temps vont nous inviter à la fête, aux cadeaux, au glamour, à la consommation. D’un autre côté, le message de Vivre Ensemble, l’organisme d’Eglise qui prépare le cheminement d’Avent, « Etre pauvre n’est pas un choix… Etre solidaire, oui ! », la collecte d’Avent, la mendicité dans les rues et à la porte des églises, l’actualité qui nous rappelle sans cesse la pauvreté dans notre pays, vont nous inviter au partage et à la solidarité.

Nous allons sans doute être tiraillés entre les deux, car nous sommes totalement plongés dans ce double mouvement. Nous allons peut-être essayer de vivre les deux, la solidarité, le partage et la fête et les cadeaux avec les proches. Peut-être serons-nous insatisfaits de ces compromis.

Le sens profond de Noël peut peut-être nous aider à vivre cette fête. Dieu se fait homme, Dieu vient partager notre condition humaine en se faisant l’un de nous. Par cette incarnation, Dieu donne une valeur inestimable à l’homme, à tout homme, à tous les hommes. Parce que Dieu s’est fait homme, chaque femme, chaque homme, chaque enfant, chaque adulte et chaque aîné, où qu’il vive, a une valeur inestimable. Aussi accueillir Dieu qui se fait homme, célébrer sa venue parmi nous, ne peut se faire qu’en vivant un respect de l’homme, de tous les hommes et en le vivant par des gestes concrets. Pour un chrétien, poser des actes de partage et de solidarité à l’occasion de Noël, c’est vivre le sens profond de Noël tout autant qu’aller à la messe et y accueillir Jésus présent dans le pain. Les deux gestes sont complémentaires.

Que l’Avent et le message de Noël nous aident à aller de l’avant dans le sens profond de cette fête.

Bon cheminement, bonne fête à chacun.

François-Xavier Jacques (curé-doyen)

Flamme de la Paix : Conte musical

Une nuit à Bethléem…

Ce conte « qu’on sert » à Noël

Il y a très longtemps dans un petit village de Judée, un gardien de moutons se souvient…

Ce récit évoque une histoire vieille de plus de deux mille ans… mais cette fois, c’est un modeste berger qui témoigne devant les enfants de Bethléem de l’étrange aventure qu’il a vécue trente ans auparavant alors qu’il n’était encore lui-même qu’un jeune adolescent.

Ce soir-là, lui et toute sa famille se sont levés au milieu de la nuit, sans très bien savoir pourquoi, et se sont dirigés vers la plus pauvre maison du village. Au fond d’une misérable étable, ils ont découvert un brave homme qui veillait sur sa très jeune épouse… et un tout nouveau-né.

Qui étaient ces voyageurs misérables qui manquaient de tout ? Comment se nommaient-ils ? Il n’en a aucune idée mais il garde de cette rencontre magique un souvenir impérissable.

Quelques jours avant Noël, un conteur, une chanteuse et son violon, une harpiste, et trois flûtistes partageront avec vous ce merveilleux moment d’émotions.

Apportez votre bougie dans un bocal et repartez avec la flamme de la Paix en provenance de Bethléem.

Richard Faymonville : récitant

Catherine Jansen : chant et violon

Angélique Giorgio : harpe

Anne-Marie Haccour, Véronique Deliège et Jean-Pierre Minguet : flûtes à bec

Nov. 2017 : Les funérailles disent le sens

Les 1 et 2 novembre, à l’occasion de la fête de Toussaint et du jour des morts, de nombreuses personnes font mémoire de leurs défunts. La manière de le faire dépend du sens que chacun donne à la mort.

Pour certains, après la mort, il n’y a rien. Aussi, pensée chez soi, visite au cimetière avec dépôt de fleurs devant la tombe, le columbarium ou sur l’aire de dispersion des cendres, sont un moment de merci, de souvenir.

Pour ceux qui croient qu’une vie se poursuit au-delà de la mort, ces gestes s’accompagnent d’une pensée, d’une prière, d’un acte symbolique. Manière de dire sa foi en l’au-delà, de confier le défunt à Dieu, de l’accompagner sur le chemin d’une autre vie.

Pour les chrétiens catholiques, la participation à une messe est une manière de confier le défunt au Seigneur en disant sa foi en la vie près de Dieu. Et de le faire en communauté, avec d’autres familles qui, elles aussi, ont vécu des deuils.

La manière de vivre les fêtes de Toussaint dit l’attachement aux défunts et le sens qu’on donne à la mort. Il en est de même pour les funérailles.

Dans les annonces de décès, on voit que les formules se diversifient. Conduite du corps au cimetière ou au crématorium sans geste particulier ; temps de recueillement autour du cercueil au funérarium ou au crématorium ; prière au crématorium avant l’incinération ; célébration religieuse dans une église, avec ou sans messe. Le choix de la manière de vivre les funérailles est généralement guidé par les convictions du défunt et de ses proches.

Aussi il est important de rappeler que pour un chrétien catholique, la formule proposée par l’Eglise est une célébration religieuse dans une église. Célébration du souvenir, du merci et de foi : la famille et les proches se souviennent de la vie du défunt, le remercient et le confient à Dieu qui l’accueille près de Lui. Les gestes de la célébration disent la foi que la vie se poursuit dans l’amour et la Lumière de Dieu, avec Jésus Ressuscité. Si la messe accompagne cette célébration, dans la communion les participants s’unissent à la vie qui est offerte au défunt dans l’au-delà. Le week-end précédent ou suivant le décès, les participants à la messe paroissiale sont informés du décès et invités à prier pour le défunt. Ainsi, ce n’est pas seulement la famille et les proches qui confient le défunt à Dieu mais aussi  toute la communauté.

A la demande des familles, le diocèse de Liège accepte qu’un temps de prière soit vécu au crématorium avant l’incinération. Ce sera alors une prière simple ayant toute sa valeur, mais vécue sans lien avec une communauté.

Une famille qui souhaite qu’une célébration religieuse soit vécue en union avec une communauté paroissiale, doit demander aux Pompes Funèbres de s’adresser aux paroisses pour que les funérailles soient célébrées dans une église. Les Pompes Funèbres savent à qui s’adresser. Si la messe avait une place dans la vie du défunt ou en a une dans celle de la famille et si celle-ci souhaite qu’une messe soit célébrée lors des funérailles, elle doit aussi en informer les Pompes Funèbres qui transmettront la demande à la paroisse.

Les funérailles disent le sens qu’on donne à la mort et aident à vivre l’au-revoir et l’entrée dans le deuil. Aussi que chaque famille fasse les choix qui correspondent le plus à ses convictions, à la foi du défunt et à ses attentes de paix et de soutien.

Et en ces jours de Toussaint que chacun puisse trouver paix et réconfort dans le souvenir des défunts.

François-Xavier Jacques (curé-doyen)

Face à l’injustice, la volonté d’agir

Fabian, Fernande et Jean-Marie, Régine, Luc…  Dans leur ville, dans leur village, la brutalité cachée de la pauvreté et de l’exclusion les touche.  Qu’est-ce qui motive ces personnalités singulières à donner une part de leur temps et d’elles-mêmes pour les autres ? Dans l’ombre de leur volontariat, entre désir et doute, comment vivent-elles le rêve d’une société plus juste, plus solidaire ?  Quatre témoignages sans fard, comme une bouffée d’humanité.
Un film docu émouvant, fruit d’une rencontre entre le réalisateur Yves Dorme et Vivre Ensemble.

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Le film (54 minutes) sera suivi d’un moment d’échange convivial avec plusieurs associations de la région.

Organisé par Vivre Ensemble Education avec le soutien du Centre Culturel de Dison
PAF : libre !    Réservation obligatoire au 087 / 33 41 81
Infos : Paul Rixen   0472 / 63 43 91   www.vivre-ensemble.be

Vendredi 20 octobre à 19h30
Centre culturel de DISON (2 rue des Ecoles)
Site web de l’évènement ici